Chorégraphe, danseur, opérateur culturel et membre du jury WDSF lors du Championnat africain qualifiant pour les JO de Paris 2024. Au micro de la FRMSAFH.

« Ce qu’il y a de beau dans cette discipline, c’est la motivation des athlètes »

Que pouvez-vous dire au sujet de ce Championnat ?

Pour moi, cette compétition est une très belle opportunité pour les Breakdanseurs africains. Elle leur permet d’être mis en présence les uns des autres, car si certains se sont déjà rencontrés, beaucoup ne se connaissaient que via Instagram. Je tiens aussi à ajouter que la manière dont ce battle a été organisé est vraiment remarquable. Nous avons été bien traités, les gens ont réalisé un travail formidable en amont comme en aval.

Comment avez-vous trouvé le premier round du Battle ?

Ce qu’il y a de beau dans cette discipline, c’est la motivation des athlètes. Lorsque des breakdanseurs sont rassemblés quelque part et que vous leur dites « il y a un bon DJ, il y a de la bonne musique, allez-y dansez » ils donnent forcément le meilleur d’eux-mêmes sur scène. C’est ce que j’ai perçu hier et c’est ce à quoi je m’attends aujourd’hui : Qu’ils soient à fond là-dedans, qu’ils fassent ce qu’ils savent faire de mieux et qu’ils s’expriment…

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